Se sentir dans la peau d’une coutelière Chez un fabricant de couteau
Chaque étape à son importance pour la suite :
Avant toute chose, et comme dans tous travaux manuels, j’ai commencé par enfiler mon tablier. Une fois cette première étape finie, je m’approche de mon plan de travail avec un peu d’appréhension. Il faut dire qu’à part changer une ampoule ou planter un clou, les travaux manuels ne sont pas mon fort. Je me lance, et de toute façon, il y a une première fois à tout. Trois autres femmes, novices en matière de coutellerie, participent à l’atelier. Dylan explique rapidement l’utilité des pièces qui sont devant nous et comment va se dérouler la séance.
Face à nous sont réparties les deux platines qui vont former le couteau, le ressort avec lequel on va réussir à l’ouvrir et le fermer, mais aussi les deux tranches de bois d’olivier qui l’habilleront. Il y a aussi la lame, qui n’est pas encore aiguisée.